C’est bientôt Noël, chacun est occupé à préparer les fêtes, on décore la maison avec le sapin, les boules, les guirlandes… etc. A ce propos, je vous signale que, écologie oblige, nous avons acheté cette année une guirlande lumineuse à batterie solaire. Je compte sur la tendance verte actuelle pour ne pas avoir été la seule à me faire avoir…
Nous sommes dans une région où l’ensoleillement devrait permettre l’utilisation de ce genre de produit. Manque de chance, le premier jour, il pleuvait. Donc, le soir, pas de lumière… le lendemain, belle journée, le capteur est en plein soleil derrière la baie vitrée, on va avoir des illuminations fabuleuses… Effectivement, ça scintille, c’est coloré, c’est plutôt joli, ça dure trois secondes et tout s’éteint. Peut-être que ça clignote… On attend… Dix secondes, une minute, on pense que ça clignote sur un drôle de rythme… Un peu plus tard, on se dit qu’il faudrait retrouver la boîte et le mode d’emploi.
C'est vrai qu'on est un peu comme ça : la notice, on la lit si on a un souci avec le matériel.
Où est passée cette fichue boîte ? Reconnaissons que nous attribuons aux objets des intentions pour le moins curieuses… La fichue boîte a dû se planquer en vue de représailles qu’elle ne mérite pas. Après quelques farfouillages et réflexions, la boîte réapparaît, avec dedans, le mode d’emploi… Il faut l’exposer directement aux rayons du soleil.
Le jour suivant, le mistral souffle, il n’y a pas un nuage, un vrai ciel d’azur. Le capteur reste toute la journée en plein soleil et en plein vent. Honnêtement, un traitement à donner la migraine et à avoir un lumignon à la place du nez. En fait de lumignon, nous avons de nouveau trois secondes d’éclairage et puis, plus rien…
Et le ticket, qu’est-ce que j’ai fait du ticket ? Je crois bien qu’il est parti (pas tout seul) à la poubelle et depuis le temps, la poubelle est allée au container, et le container dans le camion Véolia qui a dû vider sa benne à la déchetterie.
Et puisque nous parlons de déchets, quelques lignes à lire à la loupe en bas de la notice m’apprennent que les composants ne peuvent pas être changés et doivent être jetés quand ils sont usagés. Je vais donc devoir balancer toute la guirlande qui n’aura jamais servi …
Alors… Alors… Alors ??? Zorro est arrivé, sans se presser, le grand Zorro, le beau Zorro, sans son cheval, avec une prise, il a bricolé l’après-midi entière et il a transformé la fausse guirlande écolo en vraie guirlande électrique qu’on ne jettera pas tout de suite…
Après résolution du problème cornélien, à savoir soit jeter la chose et augmenter ainsi notre production d’ordures (neuves), soit consommer un peu plus d’électricité, nous avons tous été ravis qu’une lumière vienne éclairer notre lanterne (ou plutôt notre guirlande), surtout Teddy…
Nous sommes dans une région où l’ensoleillement devrait permettre l’utilisation de ce genre de produit. Manque de chance, le premier jour, il pleuvait. Donc, le soir, pas de lumière… le lendemain, belle journée, le capteur est en plein soleil derrière la baie vitrée, on va avoir des illuminations fabuleuses… Effectivement, ça scintille, c’est coloré, c’est plutôt joli, ça dure trois secondes et tout s’éteint. Peut-être que ça clignote… On attend… Dix secondes, une minute, on pense que ça clignote sur un drôle de rythme… Un peu plus tard, on se dit qu’il faudrait retrouver la boîte et le mode d’emploi.
C'est vrai qu'on est un peu comme ça : la notice, on la lit si on a un souci avec le matériel.
Où est passée cette fichue boîte ? Reconnaissons que nous attribuons aux objets des intentions pour le moins curieuses… La fichue boîte a dû se planquer en vue de représailles qu’elle ne mérite pas. Après quelques farfouillages et réflexions, la boîte réapparaît, avec dedans, le mode d’emploi… Il faut l’exposer directement aux rayons du soleil.
Le jour suivant, le mistral souffle, il n’y a pas un nuage, un vrai ciel d’azur. Le capteur reste toute la journée en plein soleil et en plein vent. Honnêtement, un traitement à donner la migraine et à avoir un lumignon à la place du nez. En fait de lumignon, nous avons de nouveau trois secondes d’éclairage et puis, plus rien…
Et le ticket, qu’est-ce que j’ai fait du ticket ? Je crois bien qu’il est parti (pas tout seul) à la poubelle et depuis le temps, la poubelle est allée au container, et le container dans le camion Véolia qui a dû vider sa benne à la déchetterie.
Et puisque nous parlons de déchets, quelques lignes à lire à la loupe en bas de la notice m’apprennent que les composants ne peuvent pas être changés et doivent être jetés quand ils sont usagés. Je vais donc devoir balancer toute la guirlande qui n’aura jamais servi …
Alors… Alors… Alors ??? Zorro est arrivé, sans se presser, le grand Zorro, le beau Zorro, sans son cheval, avec une prise, il a bricolé l’après-midi entière et il a transformé la fausse guirlande écolo en vraie guirlande électrique qu’on ne jettera pas tout de suite…
Après résolution du problème cornélien, à savoir soit jeter la chose et augmenter ainsi notre production d’ordures (neuves), soit consommer un peu plus d’électricité, nous avons tous été ravis qu’une lumière vienne éclairer notre lanterne (ou plutôt notre guirlande), surtout Teddy…
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